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14 décembre 2012 5 14 /12 /décembre /2012 11:07

chat073web

I : Un chef nous quitte

Quelque part, au fond d’une forêt, un cri retentit, c’était moi, Aigle Noir, lieutenant du Clan Des Enfers, et bientôt chef …

« Que se passe-t-il ? demanda Nuage de Démons, mon apprentie.

-          Étoile des Enfers est morte ! hurlai-je, pleine de désarroi.

-          Comment est-elle morte ? demanda Pétale de Fleur, la guérisseuse.

-          Une attaque surprise d’un étrange renard noir, elle s’est fait mordre à la nuque, dis-je entre deux reniflements.

-          Tu es sur que ce n’était pas un loup ? me demanda Ange des enfers, ma meilleure amie.

-          Non, j’en suis sûre, ni un loup, ni un chien sauvage n’était dans les parages, il n’y avait que l’odeur d’un renard.

-          Triste fin, surtout pour un chef, personne ne mérite ça, dit Serpent Noir, l’assistant guérisseur.

-          Mais alors, ça veut dire que tu vas devenir chef, grande sœur ? demanda Petit Ange, mon frère.

-          Oui, mais… c’est trop tôt, enfin, je veux dire… je ne pensais pas… bafouais-je.

-          COOL, MA GRANDE SŒUR, C’EST LE CHEF, NANANEREUH, hurla-t-il en bondissant partout.

Je rougis, embarrassée et honteuse, et surtout en colère, il n’as aucun

Respect pour les morts, je déteste ça, mais ce n’est encore qu’un chaton innocent.

-          Mais, ça veut dire qu’on ne verra plus Étoile des Enfers ? Ouin, c’est pas juste, je l’aimais bien, moi, pleurnicha-t-il.

-          Tu an enfin compris, ce n’est pas trop tôt, dit Cœur Noir, un guerrier égoïste.

-          Comment peux-tu dire ça ?! tu portes très bien ton nom, Cœur Noir.

-          Il suffit ! annonça Fleur Noire, il est temps de commencer les funérailles pour notre défunt chef, et préparez une escorte pour « Étoile d’Aigle » afin qu’elle se rende au Feu Éternel pour recevoir ses 9 vies et devenir chef. Merci d’avoir écouté mon message.

-          J’y crois pas, une incapable de chef crève à cause d’un vulgaire renard, une idiote prend sa place, et une vieille myope se permet de nous donner des leçons, où vas finir le clan, je me le demande.

-          MYOPE, PEUT ETRE, MAIS PAS SOURDES, MINABLE GUERRIER !!!

-          AH, PAR CE QUE TU TE CROIS LA MIEUX PLACER POUR DIRE CA, PEUT ETRE ?!

-          Ah non, pas encore, c’est la 5ème dispute aujourd’hui, fermez-la au moins une fois, quand même, dis-je, un peu agacée de leurs gamineries, vous êtes pires que des chatons qui se disputent pour savoir qui a gagné, vous deux ! non mais.

-          OH, TOI, ON NE T’AS PAS SONNEE, hurlait-ils en chœur.

-          Remarque, elle a raison, dit Pétale de Fleur, ça dure depuis 3 saisons déjà, combien te temps ça va encore durer ?

Cœur Noir s’apprêtait à répondre, quand Nuage Noir arriva en trombe.

-          Alerte ! Alerte ! Le Clan Des Cieux nous attaque !

-          Que faut-il faire Aigle Noir ? me demanda Ange des Enfers, ma meilleure amie.

-          Les chatons, les reines et les anciens, mettez- vous à l’abri, les apprentis et 15 guerriers, avec moi, annonçait-je d’une voix forte.

Mais à peine ai-je fini ma phrase qu’Etoile Céleste arriva, accompagnée d’une vingtaine de guerriers aguerris.

-          Bien le bonjour, jeune chef, ne t’en fais pas, je viens en paix, non en guerre, afin de célébrer les funérailles de ma défunte sœur.

-          Comment peux-tu savoir qu’elle est morte ?! c’est toi qui as ordonné au renard de la tuer, c’est ça ?

-          Non, c’est grâce aux liens entre frère et sœur que je l’ai compris.

-          Tu parles avec froideur de ta sœur de sang, monstre sans cœur, dit Petit Ange en tirant la langue.

-          Car elle nous a trahit, nous, le Clan Des Cieux, en rejoignant votre ‘‘Clan’’.

-          C’est toi qui nous as trahit, en nous quittant, nous, le Clan Des Enfers, alors arrête de passer pour une victime.

-          Bon, il est temps de commencer les funérailles.

Le Clan des Enfers et celui des Cieux se déplaça jusqu’à la Montagne du Feu Éternel, un volcan, qui, selon la tradition, les chefs doivent être brûlé dans la lave, afin que leur âmes se libèrent du corps mais avant, chacun dit ce qu’il a sur le cœur, en s’adressant aux étoiles, puis, lancer une pierre dans le volcan, le tour vint a Petit Ange, qui, n’ayant pas compris, dit :

-          Les étoiles, pourquoi il fait si chaud ici et pas au clan ? et pourquoi l’eau au fond de la montagne, ben, elle est orange et elle pue ?

-          Crétin de frère, t’as rien compris ! Boulet, j’aimerais bien te jeter dedans des fois !

-          Mais, grande sœur, je sais pas nager.

-          Mais il est bête, mais il est bête, mais il est VRAIMENT BETE PARFOIS, rageai-je, tu t’en fiche qu’Étoile des Enfers soit morte ou quoi ?

-          Ah non, ouinn je veux pas qu’elle soit morte, moi, je l’aimais bien, snif, pleurnicha-t-il.

Et, accidentellement, avec sa queue, envoya une pierre dans le volcan, c’est peut-être mieux ainsi, le tour vint a Cœur Noir, qui marmonnait quelque-chose d’incompréhensible, le regard neutre, et lança un minuscule gravier, Fleur Noire, quant à elle, fit un discours presque éternel, vint le tour de Pétale de Fleur, de Serpent noir et de mes amis, Ange des Enfers, Démon des Enfers, Cerbère, Mamba Noir, et Scorpion Enflammé, tous des guerriers puissants, rapides et agiles, enfin, vînt mon tour.

-          Étoile des Enfers, nous sommes tous très touché par ta disparition, moi surtout, qui suis, ou qui était, ton lieutenant, tous dépendais de toi, notre valeureuse chef du Clan des Enfers, à qui nous devions protections, nourriture, et un abri, qui, pendant les dures Saisons des Neiges, nous abrite du froid mordant, nous nourris, et nous protègent, je me sens prête à prendre la relève, merci de m’avoir écouté, vous, les 1000 étoiles qui peuplent le ciel et qui éclaire notre chemin.

Je lançais une pierre, mais pas n’importe laquelle, une pierre que j’adorais, une noire, avec un cœur blanc et des ailes nacrées, la 1ère pierre que j’ai découverte, quand j’étais chaton, elle tomba dans la lave, et, contrairement aux autres pierres, une forme blanche en sortit.

-          Étoile des Enfers, c’est toi ?! dit Petit Ange.

-          Oui, jeune chaton, je reviens pour parler à Aigle noir, te sent-tu prête à devenir chef du clan ? dit-elle en se tournant vers moi.

-          Mais… c’est trop tôt, je…

-          Au fond de ton cœur, je perçois une détermination particulière, je te repose la question, te sent-tu prête à devenir chef ?

-          O…Oui !

Je ne sais plus ce qu’il s’est passé ensuite, mais maintenant, je me sens plus forte, le clan acclamait mon nom, mais, un autre, qui est réservé aux…chefs

-          Étoile d’Aigle, Étoile d’Aigle !

-          Bien, je m’en vais rejoindre le Clan Des Étoiles, adieu, Étoile d’Aigle, nouveau chef du Clan des Enfers.

 

A suivre...

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13 décembre 2012 4 13 /12 /décembre /2012 14:12

 

               Pénélope a une amie française de Nouvelle-Calédonie. Celle-ci évoque souvent avec elle ses obligations face aux travaux domestiques. Cela est très courant dans son pays.

Le racisme dont est parfois victime son amie révolte Pénélope. En réaction, elle évoque dans ce récit de fiction à la fois le travail des enfants, et le conflit qui oppose une élève et un prof raciste qui donne toujours des corvées aux élèves de couleur.

  

La jeune fille en noir                     Un récit de Pénélope

  

 

Mai 2008 Amérique:

 

Je porte le voile, oui et alors ça vous pose problème ?

 

Je m'appelle Eragon. Je parle français et je suis d'origine canaque.

Quand j'étais petite ma mère m’a toujours dit que plus tard je devrai porter le voile, je l'ai fait jusqu'à maintenant.

J'ai 16 ans et je vie à Sandy, une ville en Amérique, je suis dans un lycée, un lycée de banlieue, les gens m'insultent parce qu'ils n'aiment pas les musulmans

J'ai été renvoyée à présent de ce lycée, et je me trouve maintenant dans un nouveau lycée, un lycée expérimental, là-bas les profs m'acceptent pour ma situation, mais les élèves ont encore du mal à réaliser qu'un musulman n'est pas forcément méchant, au point de le renvoyer.

 

Sinon à par ça, j'habite dans une Cité avec ma mère et mon frère.

Bientôt, dans ma tête, je me dis qu'il faudrait que je porte plainte pour toutes ces insultes qui durent.

Ça fait tant d'années qu'on me le fait que je commence à en avoir sérieusement marre.

Mais le juge n'y changera rien, vu que lui aussi est raciste…mais je ferai tout pour qu'ils m'acceptent telle que je suis.

 

Ma mère s'appelle « Kaiza », et mon frère Mohamed.

Ma mère fait tout pour me rendre heureuse et j'en suis fière, car elle y réussit, mais ce sont les autres. Ils gâchent tout le temps mes journées, ou alors ça devrait être aussi moi qui devrais changer.

 

 

Au lycée 15h30 :

 

Le prof regarda avec sérieux et d'un air suspicieux Eragon, car c'était la seule fille du look cité et qui portait le voile …

 

Eragon hocha la tête vers la droite, semblant ignorer son prof. Il tourna le regard à nouveau vers le frère de la jeune fille et comme toujours, il ne s’adressa pour les corvées qu’à eux :

 

-          Bien, Mohamed tu rangeras la salle à la sonnerie et toi, Eragon tu pourras faire le service des mots à donner à la sonnerie.

 

Eragon leva la voix et dit :

 

-          Chaque jour nous préparons le dîner ! Pourquoi serait-ce tout le temps à nous de faire les choses ?! C'est parce qu'on est métisse que vous dîtes ça ? ! Ce n'est pas une raison !

 

Le prof dit à nouveau :

-          mais non, mais…

Eragon ne le laissa pas finir sa phrase et partit avec son frère en récré.

 

Eragon tourna les talons, fit un pas en arrière, rentra à nouveau dans la salle et dit :

C'est quoi cette nouvelle discrimination des noirs et des musulmans ? Pouvez-vous m'expliquer ?

 

-        Vous voulez que je vous dise franchement ?!! Etre noir, peut-être est-ce ainsi chez vous, mais chez nous, ce n'est pas une qualité ! En tout cas, les noirs doivent respecter les horaires des cours, et travailler, pas comme vous !

-        Comprenez-vous qu'un noir ou un musulman peut effectuer plus de 5 heures de travail alors qu’il n'est qu'un enfant?! Et moi voyez-vous, j'en fais plus. Comme j’ai 15 ans, moi, je dois faire 10 heures de travail domestique.  En Nouvelle-Calédonie, il y a une loi dure pour le travail des enfants. Ax Etats-Unis, c’est règlementé, pas pour vous semble-t-il, très cher. J’ai quinze ans, je fais 10 heures de travail par jour ! Dans mon pays, des enfants meurent ! Pendant que je suis en train de parler et que là, dehors, des enfants jouent et crient ! Vous ne trouvez pas ça révoltant !

-        Retournez tout de suite dans la cour avant que j'appelle le principal, compris ?

-        Je comprends, et vous, essayez peut être de comprendre, vous n'êtes qu'un hypocrite, oui un vulgaire hypocrite qui accuse des enfants à cette heure-ci, et qui leur donne des corvées alors qu'ils travaillent déjà plus de 5 heures par jour, rendez vous compte, enfin réfléchissez !

-        Désolé mais votre ton, je ne l’accepte pas.

-        Ce n'est pas la question, en tout cas, essayez de comprendre et réfléchissez, au revoir.

 

Eragon claqua la porte d'un coup sec.

 

 

Le principal alla chercher en vitesse Eragon énervée qui marchait dans les couloirs. Après l'avoir retrouvée, il lui dit avec autorité, en lui tenant la main :

- Que je ne te voie plus filer comme ça compris ?!

-Mais monsieur comprenez, il m’ordonne toujours à moi et à…

 

Le principal ne la laissa pas finir :

 -Non je ne veux pas le savoir ! Un ordre est un ordre !!

 

Les mots peuvent blesser mais bien plus encore.

 

 

 

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13 décembre 2012 4 13 /12 /décembre /2012 10:49

A partir d’une liste de 23 mots proposés par chacun d’entre nous (soulignés dans les textes), nous écrivons une histoire qui en utilise un maximum et qui ait du sens… Le moment n’est pas facile, Camille nous quitte, Karin n’a pas la grande forme. On mélange les tutorats et c’est parti pour partager un peu de poésie. Chacun est bien sûr autorisé à rajouter ou modifier tous les mots dont il aurait besoin.

 

 

Voici quelques propositions, certaines sont courtes mais efficaces, d’autres fantastiques, d’autres encore plus personnelles, mais toutes sont poétiques !

 

 

  

Le dragon de Magic® entra dans le tutorat de Sophie. Il vit un chat triste. Il aurait bien aimé l'écraser et le manger, mais à la place, il joua avec le petit chaton. Le dragon s'assit sur la chaise pendant que le chaton bleu écrivait au tableau. Ils commencèrent un pendu. Le dragon prit sa feuille et s'en alla. Triste et dégouté, il sortit de l'école. Ils levèrent la tête et virent la nuit étoilée bleue.

 

                                                                                                          Nelson

 

Ma douleur était forte

mais la liberté magique

feuille blanche sur table bleue

souffrance éternelle

je suis comme la lune plongée dans l'incompréhension

et je me demande encore pourquoi la tristesse est venue vers moi

alors le plus facile est l'au revoir.                                               Noé

 

 

Sept chatons  jouent à Magic® avec un dragon dans le tutorat sur des chaises bleues.

 

                                                                                              Saïd

 

 

Le départ est prévu. Je prends ma trousse, mes feuilles, mes crayons bleus. J’efface le tableau, je range ma chaise, je quitte la salle de tutorat. Un peu triste mais aucun dégoût. Je vous regarde jouer avec un peu de tristesse. Je vois de l’incompréhension dans vos yeux avec un peu de douleur. Le soir de cette belle journée, je regarde la lune et cette nuit étoilée. Je pense au chat qu’on voyait passer dans le collège, qu’on avait surnommé « cannabis », et à d’autres dragons. Je pars relooker des gens en pensant à vous le cœur plein d’espoir. Une liberté m’envahit. Il y a un temps pour tout et moi j’ai fait mon temps. Au revoir, je vous aime. Derniers mots : sept patates ! 

 

                                                        Camille

 

 

Au départ, la lune dans sa nuit étoilée est venue me souffler un tableau joyeux : liberté.

Et pourtant me voilà dégoutée.

Cette fois-ci, je fais comme le chaton et ses sept vies.

Au revoir, dragon de tristesse : tu n’étais que douleur et incompréhension. J’aime à prendre un nouveau départ dans ce tutorat, ne plus souffrir. Sur ma chaise, je joue à nouveau avec les crayons de ma trousse en installant les mots sur la feuille bleue. C’est magique. Ainsi la voilà, elle aussi relookée. 

 

                                                                           Karin

 

 

Il était une fois sept chatons en liberté qui étaient assis sur une chaise et regardaient la lune sous une nuit étoilée. Ils trouvèrent un dragon plein de douleur et de tristesse. Ils vinrent pour voir s’il souffrait. Les chatons trouvèrent une « trousse de relooking » bleue, ils l’ont relookée et le dragon est redevenu joyeux. Les chatons aimaient bien le dragon. Ils ont joué ensemble au morpion sur une feuille et comme il n’y avait plus de feuille, ils ont joué sur un tableau. Quand les chatons prirent leur départ, le dragon fut dégouté mais leur dit au revoir. Cette histoire a l’air magique, incompréhensible et triste mais je l’ai faite en tutorat.

                                                         

                            Mano

 

 

Sur une feuille, on note l’heure du départ, celle d’un au revoir. On quittera le tutorat le moment venu avec tristesse, mais de la joie aussi, pour la liberté retrouvée. Une fois les chaises sur les tables et la salle fermée, dragons tristes et chatons joyeux relookeront le lieu. Ils aimeront jouer sous la lune et la nuit bleue étoilée, chassant la douleur et l’incompréhension face à des cours trop durs et une école trop rigide qui fait parfois souffrir. A sept heures, rompant l’enchantement, le tableau reverdira, il était devenu le terrain des cartes magic©. Dégoutés, nos amis quitteront la salle. Les élèves entreront sans rien voir de ce moment de poésie. Mais, sortant de leur trousse leurs crayons, l’un trouvera des écailles et l’autre sur sa feuille, des empreintes de chat.

                                                                  Sophie

 

 

Les chaises magiques du tutorat sont venues jouer à relooker la souffrance de personnes dégoutées par ce tableau sur lequel le chaton marchant sur la trousse posée sur la feuille, en plein milieu, sur laquelle est dessiné le dragon triste qui n'apparaît que dans le bleu de la nuit étoilée des sept lunes qui aiment la douloureuse liberté de l'incompréhension des au revoir.

 

La tristesse part et les hommes redeviennent joyeux.                         Ones

 

 

 

Textes à  venir...ceux de Nathan, et d’Anwen, ils sont en cours ! 

 

Marie-Lolita nous offrira bientôt une histoire en plusieurs chapitres où de chats, de jeu, de nuit étoilée et de liberté, il n’est question que de ça !

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26 octobre 2012 5 26 /10 /octobre /2012 20:16

Brise-glace…

Une fleur se nourrit de l’eau, c’est comme l’être humain, il verse des larmes quand ça va mal. L‘eau brise la glace des larmes, le soleil nous fait sourire, la neige nous fait froid dans le dos, mais malgré ça,  on garde le sourire. Il ne faut pas voir tout en noir, sinon on risque de sombrer. Il faut ‘’RIRE’’  dans la vie. Si la fleur se fane, ça veux dire que  la nature n’est pas si parfaite et qu’on a oublié de nourrir la fleur. Quand on nous fait souffrir, on a du mal à s’en remettre, c’est comme la fleur : si on n’oublie de prendre soin d’elle, elle se fane.

Gwendoline 

 

Toujours par rapport à Brise-glace, et d’autres choses…

Gardez  le  sourire  malgré  tout…

L’amitié c’est fragile comme nous. C’est difficile à réparer quand on perd quelqu’un de cher et on se demande pourquoi la vie est faite de tristesse et de malchance. Et dans la vie, la joie d’être entouré, de sentir qu’on n’est  pas seul dans la vie, c’est génial. Même si on t’a fait du mal, il ne faut pas garder la rancœur, la haine envers l’autre car il faut savoir pardonner dans la vie. La vie n’est pas telle qu’on voudrait qu’elle soit mais c’est comme ça.         

                                                                                                                                                             Gwendoline 

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26 octobre 2012 5 26 /10 /octobre /2012 20:11

Dans Plan B pour l’été d’Hélène Vignal, les parents de Théo n'approuvent pas l'homosexualité. Ils ne sont même pas au courant de l'homosexualité de leur fils. Gwendoline imagine qu'il la leur annonce.

 

 

Théo annonce à ses parents qu'il est gay,

 

Théo : je fais mon coming out ((« coming out » = sortie du placard !)

Père : ton quoi ?

Théo : Mon coming out

Père : comment ça t'as fait ton coming out ? Tu veux dire que tu es gay ?

Théo: Mais il n'y a pas de honte à l'être

Père: Si ! Notre fils est devenu gay... ? C'est une honte !

Théo : C'est moi qui en a décidé ainsi, j'aime les hommes, je n'ai pas le choix,

Père : Regarde tu fais pleurer ta mère, tu es fier de toi ? 

Théo : Mais c'est vous qui n'acceptez pas que je sois amoureux d'un garçon...

Louise : Mais pourquoi vous n'acceptez pas qu'il sois gay, ce n'est pas une honte !

                                                                                  Gwendoline

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17 octobre 2012 3 17 /10 /octobre /2012 15:49

Dans le roman Blog, Philippe Blondel raconte le choc d’un adolescent qui découvre que son père a lu son blog. Il connait désormais tout de ses amis, de ses abus, de ses pensées intimes. Le père, pour se faire pardonner confie à son fils ses journaux de jeunesse.

 

Le narrateur découvre peu à peu son père, cet inconnu qui un jour lui propose d’écrire un blog à quatre mains. Et comme ce sera la 1ère page, il l’invite à écrire sur « la première fois »… Nous aussi, nous avons écrit sur la 1ère fois. Ce n'est pas facile ni toujours utile de dévoiler son intimité. Certains ont choisi de rester anonymes, d'autres ont voulu assumer leur parole, d'autres enfin ont signé de leur nom mais leur texte ne parle pas d'eux puisque parfois, "je est un autre"...

 

C'est drôle, sincère (ou pas...) et souvent émouvant.        

 

 

Venez dans ce blog lancer des écrits qui partent ou parlent de vos lectures !                      Sophie

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16 octobre 2012 2 16 /10 /octobre /2012 14:23

C’est la première fois que je vis ça,  je l’aime et nous sommes heureux. J’aimerais lui dire ce que je ressens, ce que j’éprouve  pour lui. J'ai la sensation qu’il est l’homme de ma vie,  qu'il me fait voir ce que j’ai de meilleur  en moi. Il me fait voir la vie encore plus belle que je la trouve, mais lui m’illumine  de jours en jours,  d’heure en heure,  de minute en minute, et de seconde en seconde.

 

Je pense à lui, il me manque,  j aimerais être dans ses bras mais cela est impossible car il est loin de moi mais tout près de mon cœur. Alors voilà, ce poème pour lui prouver mon amour et la délicate attention que j’ai pour mon homme.  Et je meurs peu à peu car lui seul fait battre mon cœur mais quand je vois ses yeux, j aimerai voir des milliers d’étoiles  qui brillent  pour nous car un feu d’artifice  s’est illuminé le jour ou il m’a vue. Cela a été réciproque et immédiat.

 

                                                                                                                             Cassandra

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16 octobre 2012 2 16 /10 /octobre /2012 11:15

Je me souviens très bien du premier jour et de la première minute, quand j’ai mis les pieds dans ma première salle de classe. C’était plein de petites filles, et de petits garçons en train de jouer et de rigoler. Je suis entrée sans même dire au revoir à ma maman. Elle, elle pleurait car elle avait peur que je pleure quand elle partirait. Mais en fait, pas du tout, je m’amusais et je rigolais.

Quand sonna midi,  ma mère vint me chercher. Arrivée à la maison, on se mit à table. Après avoir mangé, je retournai dans ma chambre. Dix minutes après, ma mère arriva et dit : « on y retourne ». Je la regardai et dit :  - « Où ça ? », 

-          Elle me répondit : « bah,  à l’école !

-          Je lui dis : « C’est bon, j’ai vu comment c’est, je ne veux plus y retourner. »

Mais moi, je savais très bien pourquoi je n’avais pas pleuré le premier jour. J’avais envie de voir tout ce qu’il y avait comme lego ou autres choses amusantes !

 Elle m’a regardée et m’a dit : « si, on y retourne ».

 Je l’ai regardée et je lui ai dit encore une fois non. Elle m’a soulevée, je me suis mise à hurler, elle m’a reposée et elle m’a mit une claque.

 Et bah, voila, c’était ça l’école, le début du cauchemar. 

                                                                                                              Léonie

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 14:47

 

La fleur noire

 

Dans un jardin une fleur..

Une seule fleur..

pas comme les autres..

Spéciale , noire ,..et triste

Qu'à moitié ouverte

Depuis ce temps elle a parcouru .. des cimetières et a traversé

la main d'une mariée ..

Depuis la fleur noire a de l'espoir .. mais aussi du désespoir ..

c'est la fleur noire..

                                                                 Pénélope

 

Rhapsodie en noir

 

La rhapsodie qui traversa son cœur...

et la rose qui caressa son cou

et le vent qui glissa dans ses cheveux

l'envahirent.

elle glissa une flûte dans sa bouche..

et mit ses talons … rouge pétant ..

elle partit vers une Rhapsodie.

et rejoignit le bruit des instruments unis. 

 

                                                              Pénélope

penelope.JPG

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 14:35

 

Je vois... un dinosaure qui a parcouru de nombreuses aventures dans sa vie, et de nombreuses batailles qui défilent dans ses yeux..,

Je ressens.. de l'énergie et du courage,

 

J'imagine … un dinosaure.. qui parcourt chaque jour des kilomètres et des kilomètres au cours de sa vie pour nourrir ses petits et leur donner une forte et belle vie jusqu'à leur plus vieil age . Pénélope


dino-alexis.JPG

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